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 VAS HAPPENIN BOO, JAGG... AH MAIS Y'A MJ AUSSI ? - UC

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MessageSujet: VAS HAPPENIN BOO, JAGG... AH MAIS Y'A MJ AUSSI ? - UC   VAS HAPPENIN BOO, JAGG... AH MAIS Y'A MJ AUSSI ? - UC EmptyDim 30 Déc - 21:51


Un déjeuner sans prise de tête, tranquille, imotep!

Zac détestait son appartement. Il était pourtant spacieux, moderne, très bien situé vis à vis de son job, mais pour une raison inconnue, il le détestait. Peut-être parce que ses parents avaient voulu absolument le lui acheter suite à son départ de la maison familiale. Il cherchait donc le plus possible à ne pas être chez lui, passant la plus par de son temps chez Jae ou chez Jagg, ou alors à inviter des gens chez lui pour éviter de se retrouver. En plus de détester son appartement, Zac détestait également la solitude. Deux mains attrapèrent alors le col de son t-shirt, sortant Zac de sa soudaine rêverie. Boo le tira vers elle, passant ses mains autour de sa nuque et l’embrassa sans crier garde. De toute façon s’était prévisible, n’est-ce pas ? Quoique, c’était de Boo dont on parlait. Et même si Zac avait appris à mieux la connaître depuis qu’ils sortaient ensemble, certains aspects de son caractère lui échappait toujours. Zac se laissa faire, telle une marionnette. C’était ce qu’il faisait depuis un petit bout de temps. Leur relation était morte, elle le savait aussi bien que lui, mais ni l’un ni l’autre ne semblait pourtant vouloir arrêter la chose. Et même si Zac savait pertinemment qu’il n’éprouvait plus rien pour la jeune fille qui lui faisait face, il l’avait quand même invité à passer la soirée avec lui la nuit dernière. Ce n’était plus pareil du tout, la nuit qu’ils venaient de passer l’avait confirmé. Ainsi pour remédier à ce qu’il considérait comme étant une grosse connerie, Zac envoya un message à Jagg pour qu’il le rejoigne pour le déjeuner et ainsi éviter d’être seul avec Boo. Être seul c’était terrible, avec Boo c’était encore pire. Au bout de quelques secondes, Zac repoussa Boo de ses deux mains, la laissant seule au milieu du salon. Il la dévisagea de haut en bas, remarquant qu’elle n’avait toujours pas remis son jean de la veille. Cela lui aurait fait quelque chose, mais là rien. Il se contenta de soupirer et parti s’assesoir sur le rebord de la fenêtre du salon.

Il sortit son briquet de la poche arrière de son pantalon et s’alluma une cigarette, tandis que Boo… À vrai dire il ignorait ce qu’elle pouvait faire, qu’elle soit là ou pas, finalement ça en changeait plus grand chose. Pourquoi quand sa petite amie était là il parvenait quand même à penser à elle ? Il ne devrait voir que Boo, comme cela était y a quelques mois, mais non. Maintenant il y avait… elle. Zac inspira une taffe tandis qu’il essayait de se concentrer sur tout sauf à la fille qui hantait ses pensées depuis cette soirée dans ce bar. De toute façon, ils couchaient juste ensemble, MJ n’était rien d’autre qu’une fille qu’il voyait plus ou moins régulièrement pour coucher. C’était tout, et ça s’arrêtait là. Pourtant, il y avait cette petite voix intérieure qui semblait lui dire le contraire. Faites que Jagg arrive vite pensa-t-il, il le ferait forcément penser à autre chose.Et puis de toute façon, il n'y avait pas que MJ, ni que Boo, il y avait les autres. Celles qui voyait une fois, et qu'il oubliait le lendemain. Celles qui ne faisaient que passer brièvement dans sa vie. C'était ça qu'il aimait. Et c'est à cette pensée que Zac changea d'humeur. Ce soir, il sortirait, avec Jae, ils iraient en boîte grâce au job de son jumeau de manière gratuite, et il serait lui même. Son subconscient sautait de joie à cette idée. Des filles, et aucune dont il retiendrait le nom. Zac écrasa son mégot dans le cendrier à ses côtés et retourna dans sa chambre, où la jeune fille l’attendait allongée sur le lit double, son portable entre les mains. Zac lui jeta un rapide regard, se dirigeant vers son placard tout en cherchant une chemise à enfiler par dessus son t-shirt gris. « Hum y’a Jagg qui va pas tarder, donc… » Tu devrais peut-être partir. La fin de sa phrase était si évidente, le ton était là mais rien ne sortit. Zac s’arrêta alors dans son action, se retournant vers Boo, qui lui faisait face, portable en main, mais le regardait cette fois-ci. Elle leva les yeux au ciel et donna de nouveau son attention à son portable. Elle voulait vraiment rester, et rester habillée comme ça ? En même temps c’était Jagg. Mais même, cela ne justifiait pas le fait qu’elle reste en sous-vêtement, avec un t-shirt ample pour couvrir sa poitrine. Le jeune brun vint s’asseoir aux côtés de Boo, et d’une petite voix il lui glissa au coin de l’oreille. « Tu veux jouer à ça Boo ? D’accord… » Et d’un geste rapide, il attrapa le téléphone et partit en courant de sa chambre, sachant pertinemment que Boo n’accepterait qu’il prenne ce qu’elle considérait comme l’objet phare de sa vie.

Il se mit à courir dans l’appartement, en espérant qu’elle en fasse de même et pourtant rien. Pour une fois qu’il voulait rire. Il soupira, défaitiste en plein milieu du salon, s’apprêtant à lui rendre le petit objet, quand soudain il sentit un poids sur son dos. « Rends-moi ça espèce de crétin ! » Les jambes nues de Boo s’agrippèrent autour de sa taille tandis que ses bras suivaient la trajectoire de Zac qui essayait à tout prix de garder le petit objet dans ses mains. « Ou quoi Boo ? T’as des choses à me cacher ? » dit-il d’un ton moqueur, détaché presque. Il s’en foutait tellement, finalement. Alors qu’il avançait péniblement avec la jolie brune sur son dos, il entendit l’interphone sonné. Zac s’approcha du combiné dans le hall d’entrée, pressa sur le petit bouton sans pouvoir s’adresser à la personne en bas. « Jagg si c’est toi… » et il eut à peine le temps de finir sa phrase que Boo couvrait avec sa voix la sienne, toujours les mêmes mots à la bouche. Cette fois-ci, il en avait marre et essaya en vain de faire descendre sa petite copine de son dos. « Boo faut que je lui ouvre, descends aller. » La jeune fille n’en fit rien, au contraire, elle se pencha légèrement, se trouvant assez près de la porte pour pouvoir l’ouvrir. « Maintenant rends-le moi Zac, putain ! ». Boo sauta de son dos, passa devant lui pour récupérer son précieux. Visiblement sa première méthode n’était pas assez efficace. Et sans vraiment le vouloir, sa deuxième méthode fonctionna plutôt bien. Zac cessa tout mouvement lorsqu’il vit pousser la porte d’entrée, Jagg avec, elle, MJ. Il déglutit à l’idée de la voir là. Encore plus lorsqu’il savait que Boo était dos à eux, en culotte, sans soutien-gorge avec son t-shirt sur le dos. C’était, littéralement, la merde.
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MessageSujet: Re: VAS HAPPENIN BOO, JAGG... AH MAIS Y'A MJ AUSSI ? - UC   VAS HAPPENIN BOO, JAGG... AH MAIS Y'A MJ AUSSI ? - UC EmptyVen 4 Jan - 22:07

Ft. Jagg, Boo et Zac
∞ On s'fout à oilp ou bien ?
Les rayons du soleil pénétrait à travers les rideaux de la fenêtre de la chambre de Jagger. Le garçon avait laissé les volets ouverts la nuit dernière. Du coup c'était les faisceaux lumineux, qu'émettait le soleil, qui venait réveiller doucement la jeune fille. Cela aurait pu faire du bien à une personne normale, une personne qui aime sentir la chaleur du soleil se déposer, doucement, sur sa peau. Cette chaleur que l'on ne retrouve nulle part ailleurs, que rien ne peut recréer. Pourtant, ce n'était pas le cas de Marie-Jeanne. Elle était énervée rien qu'à l'idée de devoir ouvrir les yeux, cela mettait fin à sa courte nuit de sommeil. Ce matin elle aurait pu dormir longtemps, avoir les dix heures de sommeil dont elle a besoin, du moins c'est ce qu'elle répète à tout le monde à chaque fois que l'on vient lui faire un compliment. C'est comme un réflexe, un automatisme, elle n'y peut rien si dès qu'on lui fait un compliment elle dit Ça c'est parce que je dors dix heures par nuit. Dix heures de sommeil c'est la clé de la beauté. et puis elle ajoutait doucement Pourtant, en ce moment je ne les ai pas mes dix heures de sommeil. Et si elle ne les avait pas, ses dix heures de sommeil, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même. C'était entièrement de sa faute si elle ne dormait pas plus de cinq heures par nuit en ce moment, c'était uniquement de sa faute si elle passait plus de temps à dormir chez des garçons qu'elle ne connaissait pas, plutôt que de dormir dans les draps de son lit king-size. Mais, il est vrai, qu'elle avait pas mal de raisons de vouloir découcher. À chaque fois qu'elle dormait chez elle, Marie-Jeanne n'arrivait pas à dormir de toute manière. à chaque fois il y avait sa mère ou son père qui venait lui demander de manger en famille, alors que tout le monde sait que les dimanches matins sont faits pour dormir et non prendre des stupides repas en famille. Et si ce n'était pas les parents c'était sa petite soeur, Julia, qu'elle a beau adorer, qui venait la mettre en pétard de bon matin, même s'il était souvent quatre heures de l'après-midi. Mais le pire était sûrement lorsque son chat, Chat, venait s'oublier dans un coin de sa chambre. L'odeur devenait rapidement insupportable. Alors que la maison possédait un immense jardin, qui offrait une multitude de possibilité et d'endroit pour ce pauvre petit chat pour faire ses besoins, il fallait toujours qu'il vienne les faire dans la chambre de la jeune fille. Bon il faut dire que le chat se faisait souvent enguirlander par le jardinier de la famille à cause de cela, mais ce n'était pas une raison.
En tout cas, ce matin, ou plutôt en cette fin de matinée, la jeune fille était déçue de se voir réveiller par le soleil, cet astre qui permet à tant d'être vivants de vivre et qui, pourtant, peut s'avérer être la pire des ordures avec certaine personne, certaines espèces. Comme pour les vampires qui ne peuvent pas sortir la journée sous peine de finir brûlé, le soleil venait embêter Marie-Jeanne ce matin. Il fallait donc elle se lève du lit. Elle finit par s'asseoir sur le bord du lit, dans lequel elle avait dormi et posa sa tête sur ses mains. Il fallait qu'elle arrive à se motiver pour rentrer manger chez elle, pour une fois qu'elle en avait l'occasion il fallait absolument qu'elle en profite. Pourtant, elle ne voulait pas être la seule à souffrir de ce réveil matinal. C'était de la faute à Jagger si elle était réveillée à cette heure-là, onze heures du matin, et il fallait qu'il en subisse aussi les conséquences. Alors, elle donna un grand coup dans la couverture, en plein sur le ventre du garçon, avant de dire « Crois pas que je vais souffrir toute seule de m'être faite réveiller par tes stupides volets ! Bouge toi Jagg ! » puis elle se leva. Elle passa en revu la pièce, des vêtements étaient éparpillés un peu partout. Elle tenta de repérer ceux qui lui appartenait, avant de commencer à enfiler sa jupe noire. Elle attrapa ensuite le haut qu'elle portait la veille, mais avant de le mettre elle voulait trouver ses collants, allez savoir pourquoi. Mais dans ce bazars elle n'arriva pas à mettre la main dessus. Elle s'assit finalement au bout du lit pour réfléchir à l'endroit où elle avait bien pu les balancer, littéralement. Même la sonnerie du téléphone de Jagger ne la tira pas de sa recherche. Elle n'avait même pas eu la curiosité de demander au garçon qui venait lui parler aussitôt. De toute manière ce n'était pas ses affaires, Jagger était un garçon très gentil, un ami en or qu'elle ne voulait perdre sous aucun prétexte. Elle ne voulait pas que son amitié nouvelle génération, qu'elle entretenait avec lui, vienne briser le lien qui les avaient unit pendant longtemps. D'ailleurs elle s'était secrètement jurée de tout arrêter si jamais elle venait à se disputer, ou même à ressentir quelque chose, pour le garçon. D'ailleurs c'était l'une de ses règles d'or. Ne jamais tomber amoureuse plus facile à dire qu'à faire.
« Tien ! » entendit-elle avant de se recevoir la paire de collant qu'elle avait cherché pendant longtemps, beaucoup trop longtemps à son goût. Elle ne prit pas la peine de remercier son ami, elle les mit en boule et commença, doucement à les enfiler. « Zac veut que j'aille déjeuner chez lui à midi. » commença le garçon, comme s'il était dans un monologue intérieur, comme s'il réfléchissait à voix haute. MJ ne bougea pas, elle continua à s'habiller, faisant remonter son collant le long de sa jambe. De toute manière elle n'avait pas son mot à dire dans cette histoire. Si Jagg voulait aller manger chez Zac ce midi, tant mieux pour lui, cela lui faisait une belle jambe tien. Elle s'en moquait, à midi elle déjeunait avec papa et maman chez elle, comme elle en avait l'habitude lorsqu'elle était petite. Cela allait lui faire du bien, elle en était presque sûre. « Tu veux venir, peut-être ? » Là elle bougea, si elle voulait venir ? Mais cela mettait complètement ses plans de fille modèle en péril. Cela mettait aussi en danger l'amitié qui l'unissait avec Zac et Jagger, mais aussi celle qu'unissait les deux garçons entre eux. Oui ils étaient meilleurs amis, mais elle doutait fortement qu'ils soient au courant du lien qui liait Jagg à MJ et MJ à Zac. Enfin comme il a été dit dans une série ''Tu n'as pas à t'inquiéter d'où traîne ma bite, tant qu'elle n'est pas proche de toi.'' ou quelque chose dans le genre. « C'est ton ami aussi, tu n'as qu'à venir. » Ok, donc Jagg décidait pour elle maintenant ? De toute manière l'idée d'un chaos amical ne pouvait être que marrant à observer. Et puis la gène qui pouvait y avoir entre Zac et elle, valait le coup d'oeil. Elle était de la partie, c'était décidé.
Le trajet fut silencieux, autant du côté de Jagg que de celui de MJ. De toute manière LiLo n'aimait pas parler le matin, elle n'était pas du tout du genre à raconter sa vie alors qu'elle sortait à peine du lit. Et puis il fallait bien deux heures à son cerveau pour se connecter correctement à sa bouche, sans ce laspe de temps MJ disait souvent d'énormes bêtises sans queue ni tête. Alors, pour éviter de se ridiculise inutilement, MJ préférait se taire et passa donc le trajet à observer la ville de Pittsburgh défiler à travers la fenêtre de la voiture. East End jusqu'au centre de la ville de Pennsylvanie. Le quartier de la jeunesse, le quartier où il fallait être, jusqu'au centre de la ville, là où tout ce passe réellement et pas seulement pour les étudiants. MJ n'avait pas vraiment de préférence niveau quartier, elle préférait simplement, ne pas traîner trop longtemps dans le sud de la ville. Elle aimait se balader dans le nord, avec ses vielles maisons. Mais elle préférait cent fois son quartier, son chez-elle. Elle revendiquait et revendiquerait toute sa vie son amour pour Sheraden, mais ça, c'était une autre histoire. Pour l'heure la voiture, qui avait amené les deux amis au Golden Triangle, comme l'appelle les habitants de Pittsburgh, se gara devant l'immeuble dans lequel habitait Zac. Jagg sortit de la voiture, suivit de près par MJ, qui ne pu s'empêcher de demander : « Tu es sûr que c'est une bonne idée ? Non parce que je peux encore remonter dans la voiture et déjeuner avec mes parents... » Mais Jagger ne répondit pas, se contentant de sonner, attendre que la porte s'ouvre et de gravir les marches jusqu'à l'appartement de son meilleur ami. MJ le suivit de près, elle connaissait le chemin par coeur, pourtant elle aimait faire comme si c'était la toute première fois qu'elle entrait dans le bâtiment. Elle adorait jouer un rôle, comme une actrice.
Jagg, une fois devant la porte d'entrée, sonna. À l'intérieur de l'appartement il y avait du bruit, cela bougeait. MJ se posa à nouveau la question, est-ce qu'elle devait partir, rentrer chez elle et manger tranquillement avec son cher papa et sa chère maman, ou devait-elle rester et affronter Zac ? Elle ne savait pas et, le temps de sa réflexion, elle se mit à fixer la porte, le regard vide. Ce fut le seul moyen qu'elle trouva pour ne pas tourner les talons, monter dans un taxi et rentrer chez elle. Mais au moment où son cerveau aurait pu envoyer l'information à ses pieds de se tourner et de courir, la porte s'ouvrit. Dévoilant Zac et Boo en petite tenue. Cela donna un magnifique fou rire à MJ. Elle ne pû s'empêcher de rire, nerveusement certes, mais de rire quand même. C'était plus fort qu'elle, la tête que faisait Zac et de voir Boo comme ça, hilarant. Elle n'avait plus aucun doute sur sa présence ici, si elle était là c'était grâce à une présence mystique. C'était son destin ! Alors, elle passa devant Jagg et entra dans l'appartement, avant même d'y avoir été invitée. Elle s'en moquait bien de l'invitation, elle y était, il y a encore quelques jours de toute manière. Elle observa l'appartement avant de se tourner vers le propriétaire et de proposer : « J'enlève mon haut, ou comment ça se passe ? Parce que j'adorerais être dans le thème du repas moi. » plaisanta-t-elle, observant bien évidemment la réaction des deux garçons, qui l'avait souvent vu dans cette tenue.
En tout cas, ces paroles, prouvent bel et bien qu'il valait mieux pour MJ qu'elle attende avant de parler. Une heure seulement après le réveil c'est encore trop tôt.


BABIE CLOUDS


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