CARTE D’IDENTITÉ #0973066904273

△ NOM : DA RICCI △ PRÉNOM(S) : Constance Maria △ SURNOM(S) : Titine ou Riri ou encore Const' △ SEXE : F | M △ NE(E) LE : 13 Septembre 1996 △ À : Compobasso △ ÂGE : 19 ans △ NATIONALITÉ : Italienne et américaine △ ORIGINE(S) : Italienne △ JOB/ÉTUDES : Etude de psychologie △ STATUT : En couple △ FINANCIÈREMENT : Riche △ CARACTÈRE : Franche - délirante - hyperactive - drôle - possessive - perfectionniste - jalouse s'agissant de son entourage le plus proche - ne fait pas rentré n'importe qui dans son cercle d'ami - égocentrique parfois - intelligente - vulgaire - paresseuse - maladroite - saute partout - gamine dans sa tête - Gentille quand on la connais vraiment - Paraît dure mais super sensible. △ GROUPE : MTV △ CÉLÉBRITÉ : Vanessa Hudgens

Carte valable jusqu'en 2025
Délivrée par la mairie de PITTSBURGH

TELL ME 5 THINGS I DON'T KNOW ∞
△ Ma famille est une ancienne famille bourgeoise italienne, je ne manque de rien, et j'aime profiter de l'argent de ma famille.
△ Ma popularité m'as rendu égoncentrique, mais je le vie bien et puis si ça convient pas, et bah change de trottoir.
△ Mes passions sont l'équitation et la danse.
△ Mon livre de chevet, enfin mes livres de chevet sont les sept tomes Harry Potter, j'en suis une fan inconditionelle.
△ J'ai deux tatouages.

VOS PAPIERS S'IL VOUS PLAIT !
△ PSEUDO/PRÉNOM : _DecOde △ ÂGE : 20 ans △ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM : Sur Don't You Remember △ COMMENT LE TROUVES-TU : Hypra moche, c'est d'ailleurs pour ça que je suis là. Restons sérieux deux minutes, j'adore. C'est sûre, parce que sinon, bah je serais pas là ! △ TEMPS DE CONNEXION : 5/7 jours △ INVENTE/SCENARIO : Scéario △ CRÉDITS : tumblr && bazzart △ PETIT MOT : (Du style beaming. et babie clouds c'est les meilleures )Oui vous êts parfaites (a) Mais après je me demande toujours pourquoi on met toujours cette section dans les présentation. Personnelement, je sais jamais quoi mettre, et je finis toujours par dire un truc de complétement ridicule. Mais la je vais juste dire "I want you to rock me, rock me *-*" △ CODE DU RÈGLEMENT : Validé !

Code:

[b]Vanessa Hudgens[/b] △ [i]Constance M. Da Ricci[/i]

It’s my life it’s now or never. ∞ Cela faisait un bon bout de temps que mes parents essayaient d’avoir un enfant lorsque leur médecin leur annonça que j’étais en route. C’est donc tout naturellement que neuf mois plus tard dans l’hôpital de Compobasso en Italie que je pointe le bout de mon nez. Mes parents décident de m’appeler Constance Maria Da Ricci. Que voulez-vous ?! Mes parents sont tout ce qu’il y a de plus catholique, et ayant une grand-mère qui s’appelle Maria, c’était mon destin. Mais je dois avouer qu’on s’en balance complètement les pistaches. Je n’aurais pas pu être accueilli aussi bien que je ne l’es été. Mes parents et tout le reste de ma famille étaient tellement heureux d’avoir un petit bout en plus, et encore plus une fille. Il faut savoir que je suis la seule petite fille que mes grands-parents auront eue. Oui, tu as bien compris, lors des repas de famille je suis la seule fille à la table « enfant » et je dois supporter l’humour complètement niais de mes cousins. Un enfer complet. Mais ce n’est pas pour autant que j’aurais manqué de quoi que ce soit. Ma famille fait partie d’une vieille famille bourgeoise italienne et si on ajoute au fait que ma mère soit avocate et mon père médecin, je peux vous affirmer que je ne me suis jamais plaint parce que je manquais de quelque chose. J’avais le droit à des cours particuliers de soutien dès mon entrée au collège, non que je sois une mauvaise élève bien au contraire, mais mes parents ne voulaient pas que je me sente exclu et voulais que je trouve un moyen à m’adapter au niveau de ma classe. J’avais aussi le droit de faire toutes les activités extrascolaires de mon choix, et les seules que j’ai gardées et dont je ne me séparerais jamais sont l’équitation et la danse. Quand je vous ai dit que je ne manquais de rien, j’ai peut-être manqué de quelque chose, la présence de mes parents.

« Constance, pourrais-tu venir avec nous dans le salon, nous devons parler ! » J’avais toujours la hantise de cette phrase. C’est donc légèrement stressé que je passai la voute pour entrer dans le salon. « Ton père à eu une promotion que nous ne pouvons pas refuser. Nous déménageons dans moins d’un mois, et tu vas être transféré dans un autre établissement. » Quand ma mère employait le « nous » cela signifiait que mon père avait pris la décision et qu’elle n’avait pas le choix. Nous étions actuellement au mois d’aout, et dans une semaine je faisais mon entré en cinquième, j’allais donc entrer dans une nouvelle classe presque un mois après la rentrée, géniale ! J’allais entrer dans une classe où tous les clans allaient déjà être formés. « On va où ?! » « Pittsburgh, aux Etats-Unis » Mais c’est encore mieux ça, en plus de changer d’établissement, j’allais changer de pays. Un nouveau moi allait devoir se forger et ce, très rapidement. Mais le point positif, je m’étais renseigné après, un tas de groupe ne faisaient leur « essaie » pour recruter de nouvelle tête qu’au mois d’octobre, j’allais devoir m’intégrer à cette façon.

« Puttana ! Mais tu fais quoi ?! C’est comme ça le mouvement, là on dirait que tu fais tout sauf ce qu’on demande ! » Un peu autoritaire, moi ?! Pas du tout, juste perfectionniste avec les premières années. Je suis à présent au lycée, et je me suis fais une place dans ce monde américain, ou mon sang chaud italien ressort souvent. La plupart des insultes que je sors sont italiennes, mais cela n’est pas la question. Je suis devenu populaire dès mon arrivée à Pittsburg, je ne dirais pas que je me la raconte, mais le fait d’avoir une tenue différente tous les jours, et une paire de chaussures nouvelle toutes les semaines, ça aide à se faire une place dans le « gang » des filles populaires et ce quelques soit l’âge. En plus si on ajoute que tous les garçons te cours après ou est besoin de prendre une douche froide dès que tu les regardes, ta vie est beaucoup plus simple. Jalousé par les filles, j’aime être en compétition, et la raison pour laquelle maintenant, je crie dès qu’un pas est mal fait et fait recommencer la chorégraphie dès la moindre erreur, c’est qu’on est dans le concours de cheerios en finale national, et que cela va bientôt faire deux ans que l’on remporte la première place d’au moins une catégorie. De plus c’est ma première année en tant que co-capitaine avec Destiny, ma meilleure amie depuis mon arrivée sur le sol américain. « On recommence ! » « T’es dure, elle était bien celle-là ! » « Les entrainements sont interdits au public ! » Je ne m’étais même pas retourné, mais je savais très bien qui était là, juste derrière moi…

Constance

We one and the same ∞ « Bienvenue au collège de Pittsburg ! Moi c’est Destiny, c’est moi qui vais devoir te servir de guide ! » « Je n’ai pas besoin de guide, je suis assez grande ! » « Ah oui ?! Parce que tu viens de passer devant ta salle de maths ! » Voilà à quoi à ressembler notre premier échange. Elle avait un accent tout ce qu’il y a de plus américain, et moi, un accent tout ce qu’il y de plus italien. On m’avait imposé Destiny comme guide pour que je réussisse à m’intégrer, et aussi que j’évite de me perdre. On finit par se découvrir plein de point commun, pour la danse, l’équitation et aussi pour le chant. Elle passait ses samedis et dimanches à la maison, les premiers temps pour me faire perdre mon retard, mais par la suite, surtout pour qu’on discute, et que l’on rigole pour rien. Destiny est devenue ma meilleure amie en quelques mois, on s’inscrivait aux mêmes activités, et rien ne nous a jamais éloignés. Nous n’étions même pas en compétition, nous sommes trop différentes. Mais ayant toutes les deux des caractères forts personne n’aurait pensées que notre amitié aurait résisté, et pourtant regarder nous, on a été toutes les deux co-capitaines de l’équipe des cheerios et on s’entend toujours aussi bien, même si maintenant on est à la fac.

pseudo

I use to think that i was better alone, you make me believe that i’m wrong. ∞ Vous vous demandez tous à qui je parlais lors de cet entrainement, et bien patience, vous allez bientôt savoir à qui je parlais. Quand on s’est rencontrés, dans un supermarché, rien n’aurait pu nous destiner à devenir aussi proche. Il faut l’avouer, mise à part nos origines italiennes, ont était complètement différents. On s’était revu quelques jours après notre « discussion » au supermarché dans les couloirs du lycée. « Eh ! C’est toi la fille aux petits pois ! » « && Toi t’es l’homme aux pates ?! » Lui avais-je répondu avec un léger sourire. « Moi c’est William. » « Enchantée, moi c’est Constance ! » Cette conversation ne s’était pas arrêtée là, on avait continué à discuter une bonne partie de la journée. Je crois que l’on n’avait même pas réussi à tenir une conversation sérieuse durant cette journée, et durant un bon bout de temps. Pour ma part, avant de pouvoir me confier à quelqu’un, il faut que je sois sûre que je peux lui faire confiance, et je ne fais pas confiance au premier inconnu qui passe. Puis s’en sont suivi des journées à trainer dans le parc, à dire et à faire que des conneries, il y a aussi eu beaucoup de soirées film : « Non, mais t’es malade’, je me fais pas ce film de nanas ! » « Parce que tu crois que je veux me faire Massacre à la tronçonneuse ?! Je ne veux pas mourir moi ! && N’Oublie Jamais est un film magnifique ! » « Non, mais cherche pas, mes sœurs le regardent et à chaque fois elle pleure, c’est un film de nanas et je ne regarde pas ça ! » « Puttana, tu fais chier ! » && Ont finissais par regarder un film d’action sans histoire sentimentale à faire pleurer dans les chaumières et sans histoire d’horreur. C’est toujours comme cela dès que l’on fait une soirée film, on s’engueule et finalement, on ne regarde pas un film qui nous intéresse, alors on parle pendant tout le film. && puis voilà le temps et le jour ou l’on peut enfin se dire « meilleurs amis » ça change pas grand-chose en fait, on parle toujours de tout ou de rien, on se fait confiance on parle de nos rencontres. « Titine faut qu’on parle ! » Cette phrase, je ne l’aimais toujours pas. « Quoi ?! » « Je crois que j’ai fait une connerie ! » Je l’écoutai avec attention, et je dois dire que je ne m’attendais pas à cette révélation. Je voyais qu’il était mal à l’aise, autant prendre ça avec humour, mais je n’allais pas réussir je crois. « Depuis quand t’es … Enfin, tu as viré de bord ?! » Effectivement, William était le mec par excellence, le nombre de fois ou limite il avait un filet de bave qui suintait de sa bouche quand on se faisait un film, ou qu’il se retournait dans la rue. « Je suis pas gay ! » « Bah un peu quand même ! Ou alors t’es bi ! » On avait assez vite changé de sujet quand même. On en parlait parce qu’après tout nous étions les meilleurs copains du monde de l’univers, mais cela ne faisait pas partie de nos sujets principaux. Mais quelque chose à changer une nuit il y a presque un an, c’était un soir d’été avant la reprise des cours. Cette soirée devait être écrite, et on n’y a pas échappé. Cette soirée va tout changer, nos visages se rapprochent, nos lèvres se touchent, se caresse, nos langues s’entremêlent, nos mains cherchent le visage de l’autre. On éclate de rires, et pourtant, on est complètement perdus, voire tétanisés. On finit par se dire que c’était une erreur et que l’on n’a rien ressentit, mais pour ma part j’ai du mal. Nos échanges amicaux, par la suite, sont beaucoup plus discrets et gêner. Une nouvelle fois, pour ma part, j’avais peur de perdre mon meilleur ami, mais sans m’en rendre compte je le voyais s’éloigner de moi, plus rien n’était pareil. « Faut qu’on parle je crois ! » C’était un peu plus tard, au parc, un dimanche, un soir de pluie. Il fallait qu’on mette les choses au clair, cela ne pouvait plus durer. [..] « Je t’aime ! » « Moi aussi je t’aime ! » Ce n’était pas un de ses « je t’aime » d’amitié que l’on se disait souvent, c’était un je t’aime plein d’émotion, de sentiments, un vrai je t’aime.

Constance