Jules Ҩ Winnie

Petites confidences et ongles peints

Dans ma chambre de misère, sur mon lit, allongée, j'observe ma chambre. D'un coup, je vois ma boîte à vernis. Oh je vais me faire les ongles pour m'occuper. Oh non j'ai pas envie, la flemme. Arghh mon téléphone, déplace toi tout seul ! Viens à moi ! Oh bah mince je doit bouger. Alors je me lève, et je vais attraper mon téléphone qui date des années 1700 tellement il est trop laid. J'exagère un tout petit peu, mais bon, avouez, il est sorti il y a pas mal d'années ce machin. Donc il faut maintenant écrire un message à Jules. Qu'est-ce que je peux lui envoyer ? Ah je sais. "Manucure, toi, moi, maintenant, chez moi ?"
Je ne tarda pas à avoir une réponse. Elle acceptait.
Je sourit, et me rassit sur mon lit, m'imaginant déjà raconter des blagues à ma meilleure amie, auxquelles Jules rirait plus ou moins, et qu'elle me demanderait si elles faisait dans la monotonie ou avec plusieurs couleurs, pour ses ongles, et je lui répondrais que je préfère l'originalité au classique. Puis, je lui demanderais à mon tour conseil, ne sachant pas me décider entre faire des rayures bleues et blanches ou noires et rouges, et qu'elle me répondrait avec objectivité, comme d'habitude. Je stoppa ma rêverie, et me demanda si j'étais présentable. Alors je me regarda dans mon miroir, juste à côté de mon lit, placé de façon à ce que je puisse me voir. Je détailla ma tenue. Mon pantalon jogging troué et mon tee-shirt trop grand me donnaient un air négligé, sans prendre en compte mon maquillage de la veille, que j'avais oublié d'enlever le le soir dernier. Et puis mes chaussettes sales, qui pourtant étaient très confortables et chaudes, ne faisaient elles non plus pas très propres. Je me leva, et alla dans mon armoire attraper des vêtements un peu plus classes. Un pull noir simple, un jean à effet usé et des chaussettes noires unies feraient bien l'affaire, et c'était donc ce que j'enfilait. J'alla dans la salle de bain, pièce voisine de ma chambre, attrapa un coton démaquillant et enleva le maquillage qui me donnait une tête vraiment affreuse. J'attrapa mon gloss, mon crayon khôl noir et mon mascara, que je mit délicatement, je rangea tout ça et retourna dans ma chambre, attendant l'arrivée de Candy.

Prim et Jules

Allongé dans mon canapé je regardais la télé et je me demande d'ailleurs si je me suis pas un peut endormi puisque je ne comprend plus du tout de quoi parle ce film. Mon téléphone se met alors a sonné. C'est Prim ma meilleure amie elle me propose une soirée manucure. Je lui répond : "C'est largement mieux que dormir devant un film tout naze."
Je me lève alors de mon canapé pour me motivé, je monte a la salle de bain et me débarbouille. Je prend ma trousse a maquillage et me refait une petite beauté. Je prend mon fer a lissé et me boucle rapidement les cheveux. Je vais ensuite a mon dressing et me prend une petite robe a fleur.
Je redescend ensuite, enfile des petites ballerines blanche. Je prend mes clés et mon Iphone 4S blanc assorti a mes chaussures, pure coïncidence puisque je n'ai quand même qu'un téléphone, bon ok je pourrais jouer les couleurs avec les coques ma la je la joue neutre, sans coque. Je prend ma malette de manucure et sort de chez moi. Je ferme la porte et monte dans ma voiture, j'ouvre le portail avec ma télécommande passe et le referme.
Dix minute plus tard je suis chez Prim, je me gare, descend et sonne a la porte.

FICHE PAR CENTURY SEX

Jules Ҩ Winnie

Petites confidences et ongles peints

J'étais encore dans mon lit lorsque la sonnette retentit. Je descend au rez-de chaussée pour ouvrir à Candy. J'ouvre, et oui c'est bien Candy le bonbon.
Hé coucou ! Oh t'a ta valise, super. On va faire des trucs génialissimes. En plus j'ai un truc à te dire tu n'en croira pas tes yeux. Mais avant ça rentre, bien sûr. J'ouvre la porte en grand pour la laisser passer, puis je ferme derrière elle. Je monte les escaliers suivie de Jules, puis nous arrivons dans le couloir. Je me dirige vers ma chambre. Ma porte, avec un gros "NE PAS RENTRER" écrit au feutre rouge, lorsque j'étais dans ma période pré-adolescente, reste indélébile malgré toute tentative de lavage. White Spirit, eau, lingettes, tout y est passé. Même si, à mon avis, mon père aurait pu passer un coup de ponceuse et ce "tag" aurait disparu... Enfin, bon, passont, j'ouvre la chambre, illuminée grâce à deux fenêtres, une sur le toit et l'autre dans le mur. Cette lumière s'avérait être apaisante, rassurante, dans cette maison de tarés. Je me jète sur mon lit comme une gamine de 8 ans tout au plus. Je cherche des yeux un support où on pourrait tâcher ce support, et aperçois ma couette de quand j'étais petite. Un grand bout de tissus dont je ne pleurerais pas la perte. Parfait. Je vais le chercher, et l'étale sur mon lit. ALLEZ MANUCURE !